Cet article de the Economist fait la lumière sur ce qui fait gagner les grands sprinters : certes à l'opposé des coureurs de fond, on les savait doter de fibres musculaires anaérobiques, mais apparemment les différentes seraient aussi morphologiques : un doigt de pied plus long et un mouvement du tendon d'achille plus court, CQFD
http://www.economist.com/sciencetechnology/displaystory.cfm?story_id=14843831&fsrc=rss
mardi 17 novembre 2009
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