mercredi 30 septembre 2009

Rendez-vous au Bois, dimanche, 11h !

Même si la plupart d'entre nous n'a pas arrêté de courir (préparation du semi-marathon de Lyon, de Paris-Versailles, de la course Odyssea, des 20 km de Paris, du marathon de New-York...), cela fait longtemps que nous ne nous sommes pas vus.
Alors voilà le rendez-vous de rentrée :
Dimanche 4 octobre, 11h du matin, entre les deux lacs du Bois de Boulogne.

Afficher Boulogne - RV du 04/10/09 sur une carte plus grande

Annoncez votre participation dans les commentaires ! Ou bien inscrivez-vous à l'événement Facebook.

A dimanche...

Frequently Asked Questions / Foire aux Questions

Bonjour,
nous avons mis en ligne une Foire aux Questions, pour répondre aux questions les plus courantes (haha, courantes, jeu de mot) sur ESCP Europe Running. Il manque encore quantité de choses, mais cela n'est qu'un début. Pour y accéder :
http://tinyurl.com/o547ta
Si vous avez une question qui n'est pas traitée, merci de la poster en commentaire de ce message, ou d'envoyer un mail à escpeurope.running@gmail.com.

samedi 26 septembre 2009

rdv Paris Versailles

RDV pour tous ceux qui courent demain dimanche, le Paris-Versailles à 9h30 (départ 10h) au pilier Est de la Tour Eiffel (c'est écrit dessus comme le Port Salut) pour une photo et une séance de motivation collective avant le départ de la course.

jogging au luxembourg : les Parisiens ont presque l'air sympa

Lien vers l'articleArticle de Marianne :


equête de  Georges, qui n’a ni le temps, ni le courage, mais a entendu dire que c’était un parfait observatoire de la faune parisienne)

La requête de Georges a ravivé les souvenirs de ton amie chômeuse : au lycée, le prof de sport nous emmenait courir au jardin du Luxembourg.  À l’époque, je me cachais dans les talus pour échapper à ce que je considérais déjà comme une torture. Mais si je n’ai jamais été un modèle d’endurance, je suis en revanche persévérante et tenace, et j’ai déjà tenté de briser la malédiction de la course à pied à plusieurs reprises.

Quand je vivais à Londres, j’avais même fait l’acquisition d’un mini short vert de toute beauté pour me motiver. Je n’ai jamais compris pourquoi, mais des enfants se sont mis à me poursuivre dans le parc en me jetant des cailloux, ce qui m’a rapidement conduite à l’abandon. De retour à Paris, j’ai réitéré l’expérience avec plus ou moins de succès (vue qui se brouille, début de migraine, envie de mourir).

Comme ces menues difficultés ne suffisent pas à justifier un refus de requête, j’ai ressorti le short vert, et je suis retournée au Luxembourg comme une brave. L’objectif n’étant pas de ne rencontrer que des amis chômeurs en goguette, j’y suis allée un dimanche.

Courir au Luxembourg, c’est comme faire un tour du monde (parisien) en accéléré. Défilent tour à tour : une fanfare, des enfants sur des poneys, des vieux qui jouent aux échecs, un verger,  des jeunes qui jouent de la guitare, une expo sur le mur de Berlin, des moyens vieux qui font des arts martiaux étranges avec des épées en bois, des jeunes qui jouent au tennis, le Sénat, des très très jeunes qui se bécotent, des sculptures, des enfants qui font naviguer des petits bateaux à voile, des palmiers, des vieux qui jouent à la pétanque, des gens de tout âge qui bouquinent devant les fontaines. Et bien sûr, des coureurs. Je dois admettre que j’ai eu l’impression de ne pas me trouver dans mon camp naturel, et j’aurais bien troqué mon short contre un bouquin et une chaise inclinée.

À cause des symptômes décrits plus haut, j’ai terminé mon second tour en marchant (pour info, le jardin fait 224 500 m², alors camembert), mais en conservant une légitimité grâce à des pauses étirements et des grands moulinets avec les bras. Les autres coureurs ne m’ont pas adressé un regard, et je crains que le fantasme de la rencontre au coin d’un marronnier nécessite 1/ une assiduité irréprochable 2/ un niveau légèrement supérieur au mien. Peut-être que si j’étais restée dans mon camp naturel, à savoir celui des glandeurs, j’aurais pu entamer quelques discussions sur des sujets que je connais (comme la glande). En tout cas, quel endroit agréable que ce jardin… On aurait presque l’impression que les Parisiens sont sympa et qu’il fait bon vivre dans la capitale.

Lien utile :
Jardin du Luxembourg sur Wikipedia 

mardi 22 septembre 2009

Semi-marathon de Lyon : un récit

la météo du week-end : très agréable le samedi en bord de Rhône (une sorte d'été indien), pourri le dimanche avec de la pluie incessante, mais heureusement relativement fine pendant la course et des cordes juste après. 

Parcour21km

La course : un départ un peu trop rapide avec Benoît (Percheron, promo 2004?). Les premiers km même s'ils se font avec une souffle un peu trop prononcé, se passent bien. Le choix du blouson pluie n'était clairement pas le bon. J'ai chaud avant le premier km, je devrais nouer l'anorak à la taille, mais il n'arrêtera pas de bouger pendant 15 bornes...

Reminder pour plus tard:  ne jamais s'habiller pour les conditions du départ, mais toujours pour les conditions de la course. 

Après le premier aller-retour sur les berges du Rhône, nous courrons sur un chemin de terre, mais devenu légèrement glissant avec la pluie. Benoît, pas assez entraîné de son aveu, me lâche aux alentours du km 10. On était clairement en sur-régime l'un et l'autre, peut-être les séances de seuil me permettent de maintenir le rythme plus longtemps. 

Cependant, l'objectif s'éloigne : alors que notre rythme de croisière pour aller titiller les 1h30 était de 4'16'' au km, nous sommes dix à vingt secondes au dessus à partir de ce moment-là. 

Je tente seul de poursuivre à un rythme soutenu, mais c'est trop dur et je perd petit à petit le gain que nous avions enregistré au début du parcours (où on est parti comme des fusées (4' au premier km, 4'10'' au second).
Et pour cause, nous avions réussi à nous glisser dans les dossards préférentiels au début de la course, ce qui fait que nous n'avons pas été gêné au départ (les autres ont piétiné comme c'est la règle dans ces courses-là), mais en contre-partie, nous avons été régulièrement et quasiment pendant toute la durée de la course, dépassés par des coureurs plus rapides mais sans dossard prioritaire... pas facile pour le moral (on a l'impression de ralentir, alors que ce sont les autres qui sont clairement plus rapides)

Le parcours est plus sympa que je ne l'avais imaginé, en fait, on court dans un sens le long du Rhône, on fait demi tour dans l'autre sens, et on finit dans le parc de la tête d'or, un des plus grands parcs d'Europe en centre-ville. 
Ca permet de croiser les autres coureurs de la bande (Pierre, Benoît, ...) de temps en temps lors de ces chassés-croisés. 
En plus la présence d'Aude Boisson et de la soeur de Pierre sur le parcours permet de se sentir soutenu tout du long et, mine de rien, c'est assez utile pour ne pas se laisser aller et repartir d'une foulée un peu nouvelle. 

Dans les derniers km de la course, j'ai de nouveau mal aux pieds (les cuisses étaient, elles, tendues dès le début de la course en raison d'une marche imprudente d'une heure et demi la veille pour aller rejoindre le resto italien), signe qu'il va vraiment falloir prendre une pointure plus grande la prochaine fois pour les chaussures (l'anniversaire bientôt devrait bien aider, he he). 

En rentrant dans le parc à la fin, il reste 4 km et je décide de m'accrocher et de bien évacuer tout le gaz carbonique que mes muscles rejettent à ce moment-là, pas facile, mais c'est le grand avantage des semi-marathons, si douleur il y a, elle est quand même de courte durée par rapport au chemin de croix que représentent les marathons. 
Les sorties du seuil et le travail sur le souffle sont très alors très utiles.

Je me permets même un petit sprint dans les dernières centaines de mètres, et je boucle en 1h34'01'' (temps officiel), avec un plutôt bon temps puisque je m'inscris vraiment durablement en dessous de 1h35 (pour la 3ème fois), mais au dessus de ce que je visais (dépasser mon record personnel de 1h32'34'', qui date du semi de Paris en mars dernier). 

Au delà du bonheur de finir un semi-marathon de plus, se pose la question des entraînements (seuil et fractionné) et toutes les souffrances engendrées lors de ces séances, pour des résultats qui ne progressent plus vraiment. 

Progresser suppose de changer quelques éléments importants : poids, alimentation et sorties plus longues. 
Avec des vies pro et perso bien remplies, c'est pas non plus facile de tout concilier. 
Dans les premières années de course, les progressions entre les courses sont significatives, et du coup ces sacrifices sont récompensés (j'ai presque envie de dire à moindres frais), mais là, ça commence à devenir plus difficile : les entraînements même s'ils procurent un sentiment d'accompli, sont physiquement durs, et le gain est minime.
Donc ça reste à voir pour la suite.



dimanche 13 septembre 2009

Quand la pub ne ment pas

Au moins ce que l'on peut dire, c'est que les gars de Thomas Cook ne vous promettent pas la lune, seulement la souffrance et la douleur du marathon.
La photo est aussi loin des clichés sur le dépassement de soi  :-)


lundi 7 septembre 2009

L'ultime marathon de 5 campus : Paris 2010


Comme vous le savez si vous suivez ce blog, nous sommes en passe d'achever le challenge que nous nous étions lancés avons lancé il y a près de 3 ans de ça, avec l'ambition de courir les 5 marathons des 5 villes qui accueillent un campus de l'ESCP Europe. Dans l'ordre : Madrid en avril 2007, Berlin en avril 2007, Turin en avril 2008 et Londres en avril dernier.



En avril 2010, Paris, notre base arrière, sera notre terrain de course pour le dernier marathon du challenge.


Pour marquer le coup, nous souhaiterions être le plus de participants possibles pour cette course pour notre challenge et pour l'association que nous avons soutenu à travers ces différentes courses : Autour des Williams.

Que vous soyez coureur du dimanche, ou marathonien chevronné, nous apprécierions énormément que vous veniez vous joindre à nous le long de ces 42km de bitume parisien.


Comme vous pouvez l'imaginer, l'inscription pour le marathon est très demandée, et nous tentons de voir avec nos partenaires la façon la plus sure de satisfaire toutes les inscriptions.



C'est pourquoi, nous vous demandons de nous confirmer en commentaire de ce post ou par mail à 5marathons [at] gmail [point] com , le plus tôt possible votre envie de courir le marathon (mentionnez vos noms, âge et promo)

A très vite pour l'entraînement,
Christian



Paris Marathon 2009 Highlights


Photos Creative Commons : Joch Clark et Frédéric de Villamil

dimanche 6 septembre 2009

Tiens encore un qui court plus que Thomas :-)

Ca a été dit et je le redis : on finit toujours par trouver un maboule qui s'est mis dans la tête de courir un peu plus que ce que l'on croyait indépassable.

Quand à moi, je reste sur le marathon, et encore plus pour longtemps.

Bonne semaine, je vous laisse profiter de cette belle vidéo


N'hésitez pas à laisser vos suggestions de course débile en commentaire :
Je commence avec
- l'UTME : ultra-trail Mount Everest (on monte par la face nord et on redescend du toît du monde par l'autre côté??)
- la Forrest Gump : east to west coast des Etats-Unis
- la trans-amazonienne : comme les camions, mais en courant
- les 24 heures du Mans : on court pendant 24 heures et on regarde le nombre de tours
- le challenge ESCP Europe Running "5 campus 5 trajets" : on relie par la course les 5 campus de l'ESCP Europe : Madrid > Turin > Berlin (par les Alpes c'est plus fun) > Londres (tunnel de gauche) > Pa ris (tunnel de gauche mais vu du retour)

mardi 1 septembre 2009